Le Groupe syrien pour les droits des êtres humains (SNHR) a mentionné que le régime syrien s’efforce de nommer des responsables des forces armées associés à des actes criminels contre l’humanité et des délits de combat au plus haut niveau de gestion civile à l’intérieur de l’État. Le rapport fraîchement présenté présente des détails sur un minimum de 14 737 personnes qui seraient impliquées dans la perpétration de plusieurs types d’infractions, la grande majorité de ces personnes travaillant sous les auspices du plan syrien avec ses alliés. Comme étant les remarques du rapport, l’ajout dans cette base de données des personnes que le SNHR pense être impliquées dans la pratique d’infractions dépendra de la reconnaissance des politiques connexes du droit humanitaire coutumier en gardant les commandants ainsi que d’autres responsables âgés en charge des infractions criminelles de guerre consacrées par leur subordonnés conformément à leurs ordres, et par conséquent, ils doivent être tenus responsables dès qu’ils savent, ou ont l’expérience de comprendre, que ces subordonnés avaient l’intention de consacrer ou ont commis de telles infractions et n’ont pas obtenu toutes les mesures nécessaires et sensées en leur capacité de protéger contre leur paiement, ou si peut-être de telles infractions criminelles ont été consacrées, pour discipliner les personnes sensées. La déclaration fait état de la loi pénale mondiale La loi sur les salles d’audience élargit les éléments de cette obligation d’incorporer les crimes contre l’humanité, qui sont pleinement commis assez tôt de paix ou de bataille, et les infractions pénales de guerre. Cette loi maintient également les commandants de l’armée ainsi que les représentants plus âgés, dont des civils, responsables. Le document indique également que ces différents établissements de votre régime syrien ont déjà été liés à la commission d’infractions courantes et méthodiques, dont beaucoup comprennent des infractions par opposition à l’humanité et aux infractions de guerre, avec toutes les personnes qui ont demandé, incité, recommandé, rationalisé, participé, présenté une aide ou facilité ces délits considérés comme étant associés à ces délits; à l’avant-garde de ces entreprises se trouvent celles de l’armée ainsi que les systèmes de stabilité. La déclaration fait référence aux cinq décrets émis par le président du régime syrien, par lesquels il a révoqué et remplacé les gouverneurs en exercice dans 5 gouvernorats syriens, en particulier Homs, Daraa, Suwayda, Quneitra et Hasaka; sur la liste des personnalités désignées pour prendre la relève de ces placements figurait le Standard Key Ghassan Halim Khalil, qui avait été nommé gouverneur de Hasaka. Parce que le dossier est dévoilé, Ghassan Halim Khalil s’est avéré utile en tant que célèbre département de détails «255» de Mind in the Status Stability Services entre 2010 et 2013; cette partie comprend plusieurs segments importants, tels que tous ceux qui traitent des religions, des partis politiques et de la vérification des sites Web multimédias locaux et mondiaux et des sites Web mondiaux, ainsi que d’être impliqué dans des efforts pour aider et promouvoir les sites Web de régimes syriens professionnels qui justifient la violations du régime. La déclaration indique qu’en 2013, Ghassan Khalil a été nommé chef de la division extérieure, partie 279, ainsi qu’en 2017, il était employé comme directeur adjoint au bureau de protection de la condition. Il a également regardé la soi-disant «armée numérique électronique syrienne» du régime, qui mène des opérations de piratage et de sabotage contre des sites Web et des pages opposées à la routine syrienne, et suit les rédacteurs en chef et les militants dans le but de les arrêter et de les torturer. Il fait également partie des personnes figurant sur les listes de sanctions européennes, canadiennes et britanniques. Le SNHR a souligné que la routine syrienne a pour fonction de maintenir tous les postes d’autorité militaire et civile à la disposition de ses complices pour commettre des actes criminels à l’encontre de l’humanité et des délits de guerre afin de garantir que leur sort est toujours lié au sort du régime dans une approche naturelle et interconnectée, et donc la défendre deviendra un élément essentiel de leur défense. Le dossier révèle également comment les postes de contrôle au sein des services de sécurité et de l’armée sont principalement basés sur la fidélité initiale: une loyauté aveugle absolue sur la routine syrienne, comme le pourcentage d’infractions atroces contre les habitants et l’État syriens, qui violent le droit mondial des droits de l’homme et les règles humanitaires mondiales, et violent fréquemment la constitution syrienne actuelle; suivant: Discrimination sectaire en faveur de la secte alaouite, d’où arrivent la grande majorité des dirigeants des solutions de sécurité et aussi de l’armée, que le document note est une forme de discrimination flagrante selon le sectarisme qui viole les principes les plus élémentaires d’Outre-Mer Les règles sur les privilèges individuels ainsi que la violation de la constitution syrienne par elle-même; et troisièmement: des nominations ont été créées dans le statut syrien dans le but de calmer les dirigeants iraniens et russes afin de servir leurs passions au sein de l’armée, les facteurs de sécurité, les placements civils, les lieux d’investigation technologique, les plug-ins et les passages à niveau, comme dossier révèle.
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